2012 Atelier sur les politiques d'alerte d'urgence

A propos de l'Atelier

Voir le site en anglais


Le Protocole d'alerte commun [PAC] est un standard d’OASIS qui constitue un format simple mais général permettant d’échanger de multiples types d’alertes d'urgence par l’entremise de tous les types de réseaux. PAC permet aux messages d'alerte d’être diffusés systématiquement et simultanément par l’entremise de nombreux systèmes d'alerte différents, augmentant ainsi l'efficacité d'alerter tout en simplifiant la tâche. PAC facilite également la détection des tendances émergentes dans les avertissements locaux de divers types, tels que pourrait indiquer un risque non détectées ou un acte d'hostilité. De plus, le PAC fournit un modèle pour des messages d’alerte qui est efficace et qui est basé sur les meilleures pratiques identifiées au niveau de la recherche académique et sur l’expérimentation concrète. La norme du PAC fonctionne bien comme normes de transfert de données simples. Il a été adopté par l'Union international de télécommunication (UIT-T) sous la recommandation X1303, et est aussi recommandé par la Banque mondiale et autres organismes internationaux.

Les travaux techniques concernant le PAC sont très bien abordés dans d'autres forums, tel qu’il a été démontré lors de l'atelier PAC de l’OMM à Genève en avril 2011. Cependant, il y a des défis de politique qui font qu'il est utile d'organiser un atelier du coté «affaires» des alertes publiques. Dans la plupart des pays, la mise en œuvre du PAC soulève des défis importants de juridiction, par exemple, quel département ou ministère est responsable de quels types d'alertes, comment est-ce que les agences météorologiques font pour coordonner leurs alertes avec les agences s'occupant des incendies ou des tremblements de terre, qu’est-ce qui se passe dans les pays avec des gouvernements de structure fédérale où différentes situations existent au niveau central et au niveau des régions, quels sont les rôle que les autorités environnementales jouent et est-ce que ces rôles sont conhérents, comment sont gérées les menaces globales, tel que, le cyberespace, les situations de météo solaire, etc?

Les problèmes politiques concernant la coordination entre ou parmi les instances locales, régionales et mondiales sont de plus en plus pertinents. Les tremblements de terre, les tsunamis, les tornades, les matières dangereuses, les maladies infectieuses et autres ne respectent pas les limites de territoires. Ainsi, la question doit être posée «Quelles sont les leçons qui ont été apprises et pouvons-nous identifier les meilleures pratiques?""


Objectifs de l'atelier


  • Produire un forum neutre afin identifier et discuter des aspects de la politique d’alerte du gouvernement et des défis de la gestion d’urgences; en tenant compte de la norme du PAC qui rend l’échange de ces informations possible pour les organisations impliquées à l’échelle nationale, transfrontalière et globale.

  • Favoriser la croissance et la communication ouverte dans une communauté d’organisations ayant des vues similaires et qui reconnaissent la nécessité de l'interopérabilité entre les systèmes et les pays.

  • Identifier les défis liés aux politiques et les bonnes pratiques qui en résulte afin de pouvoir les officialiser en utilisant les processus d’OASIS.


Public ciblé


Les professionnels responsables d'élaborer, d'influencer et de gérer la politique pour d’alerte provenant des secteurs public, privé, universitaire et institutionnels devraient envisager de participer, y compris: les décideurs politiques, les dirigeants principaux de l’information (DPI), les gestionnaires des mesures d’urgences, les leaders et, les stratèges techniques travaillant sur les nouveaux développements, concepts, théories et applications de pointe.


Format de l’atelier


L'atelier prévoit de limiter la participation à environ 80 individus, avec une priorité donnée à des individus ou des groupes:

  • enthousiasmés à participer à des discussions en atelier

  • représentant les arrangements actuels qui ont abordé les questions de politique dans leurs systèmes d'alerte

  • qui développent de nouveaux systèmes et se retouvent avec des questions

  • et / ou qui ont des activités d'alerter qui travers les frontières internationales.

Le comité d'organisation fournira également une courte liste de questions de politique commune à l'avance afin d’aider les participants à réfléchir à leur position avant d'arriver.

Pour éviter toute ambiguïté et erreur, "la politique du gouvernement» dans le contexte de cet atelier signifie le suivant : «La direction ou les mesures entreprise par les ministres et / ou hauts fonctionnaires dans les organisations gouvernementales. La politique peut être incorporée dans les constitutions, les actes législatifs et les décisions judiciaires, mais elle peut également être une simple énoncée publiée sur un site web tel qu’un site du secteur public par exemple. La politique définira généralement une direction d’une perspective commercial / opérationnel et ne précisera pas les détails spécifiques de la mise en œuvre ou des solutions techniques.»

 

<Comité du programme >

Un merci spécial à l'urgence politique du comité du programme d'alerte Atelier, qui comprend:

  • John Borras, président, Section OASIS membre eGov
  • Jeff Boyczuk, Sécurité publique Canada
  • Eliot Christian, institut géologique américain (USGS)
  • Carol Cosgrove-Sacks, OASIS internationale de normalisation politique
  • Martin Euchner, Union internationale des télécommunications (UIT)
  • Patrick Gannon, OASIS Représentant Kim Gravelle, Environnement Canada | Environment Canada
  • Elysa Jones, d'urgence OASIS interopérabilité Section membre
  • Hemang Carélie, de la Banque mondiale
  • Norm Paulsen, Environnement Canada | Environment Canada